L’album s’ouvre et se referme sur un souffle. La vie condensée en un album, calée sur un fil conducteur - Interlude Ré1 et Postlude Ré2 -, dans lequel Marie Mifsud esquisse un sanglot, un écho ou développe « un jeu rythmique sur l’inspiration et l’expiration ».
L’ensemble s’intitule Récif, un enchaînement de matières, de plages musicales, qui forment un tout, une digue protectrice d’où scruter les horizons. « Cet album parle avant tout de la vie et des envolées d’émotions qui nous traversent. Ou comment trouver une harmonie dans tous ces contrastes », résume-telle.